BlogsLa digestion et l'intestin

Hélicobacter pylori et ulcère de l’estomac, alternatives naturelles

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Introduction

Actuellement, la médecine estime que l’origine de la majorité des ulcères est due à une bactérie appelée l’Hélicobacter Pylori. On retrouve cette bactérie dans plus de 80% des ulcères de l’estomac et à 90% dans les ulcères du duodénum.  Il est certain que d’autres facteurs jouent un rôle important dans la survenue d’un ulcère tels que la prise excessive d’aspirine ou d’anti-inflammatoires, le stress, le tabagisme ou l’abus d’alcool. Certains de ces facteurs réduiraient la qualité de protection de la muqueuse gastrique et d’autres augmenteraient la production d’acidité. Le traitement de l’ulcère a pour but de réduire les 2 facteurs retenus importants, à savoir l’acidité gastrique et l’hélicobacter pylori. Le traitement consiste donc de réduire l’acidité gastrique le plus souvent par la prescription d’inhibiteurs de la pompe à protons et parallèlement d’éradiquer l’hélicobacter pylori par combinaison d’antibiotiques.

Il est temps d’apprendre à mieux connaitre l’hélicobacter pylori

Il s’agit d’une bactérie gram négative qui a la capacité de coloniser notre muqueuse gastrique ainsi que la muqueuse du duodénum. Généralement cette bactérie vit dans la muqueuse de l’estomac et quelques fois elle s’attache aux cellules de la paroi gastrique. Cette bactérie est très répandue puisqu’elle colonise plus de la moitié des habitants du monde, sans provoquer aucun symptôme. Mais dans certains cas, elle peut provoquer un ulcère et même contribuer à la survenue d’un cancer de l’estomac. Dans la société occidentale, sa présence est diminuée en raison de l’utilisation fréquente des antibiotiques. Ainsi, dans certaines régions moins occidentalisées comme en Amérique du sud sa présence touche plus de 80% de la population alors que dans une ville occidentale, cette bactérie affecte plutôt 20% des gens. Il est étonnant que la science n’essaie pas de comprendre comment une bactérie qui a toujours été là, puisse devenir un ennemi. Il s’agit effectivement d’une bactérie opportuniste qui dans certaines conditions devient pathogène mais on ne comprend pas encore les raisons de ce changement. Le stress semble être toujours un facteur important, en effet certaines études ont montré que l’adrénaline produite par le stress a la capacité d’augmenter la croissance de souches d’hélicobacter pylori. Une étude récente de 2017 a clairement montré une relation entre la prévalence de l’hélicobacter pylori et le niveau de stress, d’anxiété et de dépression. Il existe une certaine ironie à penser qu’auparavant les médecins estimaient que l’ulcère gastrique ou duodénal était dû au stress, puis après la découverte de l’hélicobacter pylori, les médecins ont changé d’opinion et accusé cette bactérie comme responsable des ulcères. Maintenant on se rend compte que ces deux facteurs, la bactérie et le stress peuvent être reliés. Le stress donc reste toujours un facteur déterminant d’un ulcère gastro-duodénal.

Une question que l’on peut se poser légitimement est de savoir s’il faut systématiquement traiter ou pas l’hélicobacter pylori. Cette question peut sembler stupide pour la plupart des gastro-entérologues qui traitent systématiquement l’hélicobacter. Mais selon certaines études, cela n’est pas si clair.  Actuellement, la plupart des études montrent que son éradication a plus d’avantages que d’inconvénients surtout dans la prévention ou la prise en charge de l’ulcère de l’estomac, de la gastrite, du cancer de l’estomac ou encore de la gastrite atrophique.

Toutefois, certaines études épidémiologiques indiquent que suite à son éradication, on assiste à une augmentation des risques du reflux gastro-oesophagien. Ainsi l’éradication de l’hélicobacter pourrait augmenter les oesophagites de reflux et indirectement augmenter le risque du cancer de l’œsophage. Il faudrait dès lors comparer les risques de développer un cancer gastrique et celui de développer un cancer de l’œsophage.

De plus, chez l’enfant, on peut s’interroger sur la nécessité d’éradiquer l’hélicobacter pylori surtout si l’on tient compte d’études qui montrent un rôle protecteur de l’hélicobacter pylori contre l’asthme et la rhinite allergique. L’éradication de l’hélicobacter pylori par la prise régulière d’antibiotiques pourrait être en partie une raison de l’explosion des maladies allergiques chez l’enfant. De plus de nombreuses études montrent un effet protecteur de l’hélicobacter dans certaines maladies comme les maladies inflammatoires de l’intestin.  Il faut noter que si l’on a pu démontrer que la présence de l’hélicobacter pylori semblait protéger contre les maladies inflammatoires de l’intestin, comme la maladie de Crohn, aucune étude n’a encore confirmé que l’éradication de l’hélicobacter pylori pouvait augmenter la survenue de ces maladies.

Quels sont les traitements conventionnels de l’éradication de l’hélicobacter pylori

Le traitement standard en médecine conventionnel est basé sur une triple thérapie associant un inhibiteur de la pompe à proton (IPP) et deux antibiotiques. Le taux de succès de ce traitement quant à l’éradication de l’helicobacter pylori est d’environ de 77%. Il existe également une quadruple thérapie associant du bismuth, 2 antibiotiques tels que le metronidazole et la tetracycline ainsi qu’un antiacide de type IPP avec un taux de succès légèrement supérieur. Toutefois, l’efficacité de ces traitements contre l’hélicobacter pylori diminue avec les années en raison de l’augmentation constante de la résistance aux antibiotiques. De plus, les effets secondaires à ces traitements sont assez fréquents touchant jusqu’à 30% des personnes et comprenant nausées, vomissements et diarrhées.   

Quelles sont les alternatives naturelles contre l’hélicobacter pylori

Un traitement antibiotique non seulement risque de provoquer de plus en plus de résistance aux antibiotiques mais d’autre part affecte cruellement le microbiote et ceci de façon prolongée. En effet, des études ont montré que le microbiote pouvait être altéré encore 4 ans après la prise d’antibiotique. C’est pourquoi, il y a un intérêt de plus en plus croissant à rechercher des alternatives naturelles moins toxique pour notre santé et notre microbiote. Heureusement nous allons voir qu’il existe de nombreuses approches naturelles efficaces souvent documentées scientifiquement. Certaines études n’ont été faites que sur des modèles animaux ou expérimentaux alors que d’autre études ont montré une efficacité clinique quelquefois proche d’un traitement conventionnel mais dans l’ensemble souvent moins efficace. Mais nous verrons que la conjonction de plusieurs approches naturelles pourrait permettre d’avoir une efficacité identique à un traitement classique, sans les effets secondaires.

La canneberge et certains fruits rouges (myrtilles, sirop de sureau) (1-5)

La canneberge qui est connue pour sa capacité à prévenir les infections urinaires a montré également une capacité   d’inhiber la croissance de l’hélicobacter pylori et de réduire sa capacité d’adhésion à la muqueuse gastrique. Le taux d’éradication se situe dans les études seulement autour de 15%. D’autres fruits rouges ont également montré un effet positif contre l’hélicobacter, les plus puissants étant le sureau et les myrtilles. Il faut toutefois des quantités assez importantes pour agir sur l’ensemble de la muqueuse gastrique, par exemple la consommation de canneberge doit être d’au moins 2x 250 ml par jour.

Les pousses de brocoli (6)

Une étude publiée en 2004 dans une revue médicale renommée a montré que 7 patients sur 9 qui ont consommé des pousses de brocoli frais deux fois par jour pendant 7 jours ont vu leur infection à hélicobacter pylori disparaitre seulement après 8 jours et 6 personnes sont restées négatives dans des examens de contrôle après 35 jours. Cela semble être expliqué par une molécule soufrée appelée sulforaphane que l’on retrouve dans le brocoli à concentration élevée.

Nigella sativa (cumin noir) (7,8)

Une étude publiée en 2010 a comparé un traitement à base de Nigella Sativa avec une triple thérapie classique dans l’éradication de l’hélicobacter pylori chez des patients souffrant de dyspepsie non ulcéreuse. Cette étude a montré que la prise de 2 gr de cumin noir soit 1000 mg 2x par jour après les repas, en combinaison avec un IPP a permis une éradication de l’hélicobacter pylori dans 67% des patients. Ces résultats sont assez incroyables pour un traitement naturel.

Une autre étude avait utilisé, chez 19 patients présentant une infection à hélicobacter pylori, une mixture comprenant 6 gr de graines de cumin noir mélangée à 12 gr de miel. Les patients recevaient une cuillère à café de ce mélange, 3 x par jour après les repas pendant seulement deux semaines. A un mois, 57,1 % des personnes traitées étaient devenues négatives au test respiratoire recherchant l’hélicobacter pylori et on assistait également à une importante amélioration des troubles digestifs associés. Ces résultats sont remarquables si l’on tient compte d’études conventionnels avec des triples ou quadruples thérapies qui atteignent des scores de à peine 50% d’éradication.

Les probiotiques (9-11)

En 2012, des chercheurs ont donné des probiotiques multisouches chez des patients présentant des troubles digestifs en relation avec une infection gastrique à hélicobater pylori. Seulement après 10 jours de traitement, 13 patients ont montré une éradication complète du hélicobacter.  Ces patients ont reçu une combinaison de 8 souches hautement dosé. 

D’autres études plus récentes ont montré que des souches spécifiques avaient une efficacité significative sur l’éradication de l’hélicobacter. Ainsi une combinaison seule de Lactobacillus reuteri est capable d’exercer un effet inhibiteur sur la croissance de l’hélicobacter et combiné avec un traitement conventionnel, cela permet d’augmenter nettement le taux d’éradication et de réduire les effets secondaires. Diverses études semblent clairement montrer que certains probiotiques tels que le Lactobacillus Reuteri, le Lactobacillus rhamnosus GG ainsi que le Saccharomyces boulardii biocodex réduisent l’infection à hélicobacter pylori toutefois sans atteindre un niveau d’éradication important. En général une monothérapie avec des probiotiques seules montre un taux d’éradication autour de 30 à 40% selon les souches. C’est pourquoi actuellement les probiotiques sont proposés surtout en supplément à d’autres traitements.

La N-acétylcystéine (12)

Nous avons vu que l’hélicobacter devient de plus en plus résistant aux antibiotiques. Une des raisons est sa capacité à se protéger avec un biofilm, le biofilm étant une sorte de couverture protectrice de polymères sécrétée par le microbe lui-même. La N-acetyl cystéine a la capacité de déstabiliser la structure du biofilm, il a également des propriétés anti-oxydantes et peut réduire la viscosité de la couche muqueuse de l’estomac ce qui va augmenter la capacité de pénétration et l’efficacité des plantes antimicrobiennes. La  N-acetyl-cystéine peut dès lors nettement augmenter l’efficacité des antimicrobiens. La dose proposée est de 2x 600 mg par jour ou 3x 400 mg par jour.

Le thé vert (13)

Diverses études ont montré que le thé vert à la capacité d’inhiber la croissance de l’hélicobacter pylori et de réduire sa capacité d’adhésion à la muqueuse gastrique. De plus, une étude épidémiologique a montré que ceux qui consommaient régulièrement du thé vert étaient deux fois moins infectés par l’helicobacter pylori. La consommation régulière de thé vert comprenant au moins de tasses de thé par jour est une stratégie adjuvante intéressante dans l’éradication de l’hélicobacter pylori, sans compter les nombreuses vertus du thé vert sur la santé.

Un choix thérapeutique entre médicaments et alternatives naturelles

Vous avez le choix entre d’un côté, une approche naturelle qui va stimuler des mécanismes d’auto- guérison qui aura peu de toxicité et qui agira gentiment de façon globale et non spécifique. De l’autre côté, il existe des médicaments puissants avec une action très spécifique mais avec plus de potentiel pour générer des effets secondaires, des résistances et une altération de votre microbiote. Il existe encore une 3ème possibilité de combiner un traitement classique avec des approches naturelles comme les probiotiques ou la n-acétylcystéine, la vitamine C etc. Les études ont montré une augmentation de l’efficacité et une réduction des effets secondaires en associant les antibiotiques avec certaines substances naturelles. Si l’approche conventionnel nécessite une combinaison de 3 ou 4 médicaments pour être efficace, de même une alternative naturelle va nécessiter une combinaison des différents produits proposés jusqu’à présent.

Protocole combiné d’éradication de l’hélicobacter pylori, 

L’important est de combiner plusieurs traitements pour avoir le maximum d’efficacité. Voici par exemple, le protocole qu’a utilisé le Dr Hawrelak pour éradiquer efficacement un hélicobacter pylori chez une patiente de 48 ans qui avait résisté à deux traitements conventionnels d’antibiotique (triple et quadruple thérapie).

  • Jus de Canneberges, 250 ml 2x par jour pendant 6 semaines
  • Des pousses de brocoli frais, 30 à 50 gr 2x par jour pendant 6 semaines
  • Un smoothie de fruits rouges comprenant un bol mélangé de myrtilles et de framboises, fraiches ou congelées, selon la saison ou on additionne 2 cuillères à café de sirop de sureau. Le tout est pris l’estomac vide, 2 x par jour, pendant 6 semaines
  • Nigella sativa en capsule – une capsule de 1000 mg 2x par jour pendant 6 semaines 
  • N acetyl cysteine 500mg 1 cps 2x par jour pendant 6 semaines
  • Lactobacillus reuteri Bio Gaia 2 x 5 gtts au repas pendant 6 semaines
  • Thé vert matcha : 1 cuillère à café dans un yaourt fait maison ou yaourt bio avec l’adjonction de sirop de sureau. Le matcha peut également être rajouter au smoothie de fruits rouges.

Promouvoir la guérison de la muqueuse gastrique

Avant de vouloir guérir une muqueuse gastrique abimée par une érosion ou un ulcère, il est important d’éviter certains produits courants toxiques pour notre muqueuse digestive tels que le tabac, l’alcool, l’excès de café ou la prise régulière d’anti-inflammatoires.

Certains compléments alimentaires ou substances naturelles ont montré une capacité de guérir la muqueuse gastrique et d’aider à cicatriser ainsi plus rapidement un ulcère gastrique ou duodénal.

Savez vous qu’une ancienne étude datant de 1949 faite par les chercheurs de l’université de Stanford avait montré que le jus de chou, à raison d’un litre par jour pouvait guérir un ulcère duodénal en seulement 10 jours et 7 jours pour un ulcère gastrique alors qu’avec un médicament antiacide il faut attendre presque 6 semaines.  Bien que de nombreux naturopathes se soit inspiré de cette étude, plus aucune étude scientifique n’a été faite pour confirmer cela. D’autre part, des grandes quantités de chou peut affecter la thyroide chez des personnes prédisposées et favoriser un ralentissement de cette glande. La réglisse est une plante qui aurait également la capacité de promouvoir la cicatrisation d’un ulcère gastrique mais les études remontent aux années 60 et 70 et il est difficile de confirmer cette propriété. Il existe bien entendu de nombreuses plantes qui pourraient par leur effet cicatrisant aider à la guérison d’un ulcère telles que la calendula officinalis, l’achillée millefeuille ou la guimauve officinale, toutefois les études manquent pour confirmer leur utilisation.

La gomme mastic (14)

La gomme mastic est une résine naturelle issue de la sève d’un arbuste méditerranéen. La variété chia de l’ile de Chios en Grèce est la plus réputée. Elle possède une activité anti-inflammatoire. Le mastic permettrait de cicatriser en mettant fin à l’inflammation des organes par exemple dans la gastrite, l’ulcère duodénale ou l’oesophagite. Une étude qui date d’une trentaine d’années avait montré son efficacité dans la guérison de l’ulcère.  Ainsi dans une étude, des personnes souffrant d’ulcère duodénal, avaient reçus 1 gr de Mastic 2x par jour pendant 2 semaines. 80% des personnes ont été soulagées par ce traitement et chez 70% ont a pu montrer une guérison de l’ulcère par voie endoscopique.

Le zinc carnosine (15)

Le zinc carnosine est un complexe chélaté de zinc et de carnosine qui est cliniquement utilisé depuis des décennies au japon pour traiter l’ulcère gastrique. Les études ont prouvé son efficacité à protéger et réparer la muqueuse gastrique surtout sur des modèles animaux.  Des études cliniques ont montré également une efficacité sur les ulcères cutanés, les ulcérations du colon dans la recto-colite ou lors de gastrite ou oesophagite après traitement de médicaments anticancéreux.

Mélatonine et tryptophane (16)

La mélatonine est une hormone sécrétée par la glande pinéale dont le but principal est de régler nos rythmes biologiques circadien. Déjà plusieurs études ont montré la capacité de la mélatonine d’aider à réparer les lésions liés à un ulcère de stress ou un ulcère provoqué par des anti-inflammatoires probablement par la capacité de cette hormone a stimuler nos défenses anti-oxydantes et à jouer le chef d’orchestre d’autres hormones impliquées dans la réparation cellulaire. Une étude de 2011 a voulu évaluer l’effet de la mélatonine et du l-tryptophane, qui est un précurseur de la mélatonine sur la capacité de guérison d’un ulcère gastrique ou duodénale. Les chercheurs ont comparé un groupe ne prenant qu’un IPP avec deux groupes dont l’un prenait 250 mg d L tryptophane 2 x par jour et l’autre 5 mg de mélatonine 2 x par jour. Les résultats ont clairement montré une accélération des processus de guérison des ulcères gastriques ou duodénaux dans les groupes mélatonine et tryptophane.

En conclusion

Certains produits peuvent réellement aider à accélérer la guérison d’un ulcère gastrique ou duodénale en association le plus souvent en association avec un IPP. Nous avons vu qu’il existe de nombreuses plantes qui sont connues pour leur effet cicatrisant et qui peuvent être utilisées comme la calendula officinalis, l’achillée millefeuille ou la guimauve officinale ainsi que l’aloe vera ou la réglisse. Toutefois les études manquent pour confirmer leur efficacité. Nous pouvons ajouter à un traitement classique les produits que nous avons décrit tels que :

  • La gomme mastic 1 gr 2 x par jour (par exemple chez supersmart.com, Mastic gum 500 mg). La gomme mastic a également la capacité de réduire la croissance de l’hélicobacter pylori
  • Le zinc L- carnosine de chez supersmart.com, une gélule matin et soir
  • La mélatonine à la dose de 5 mg au couché ou le L-tryptophane à la dose de 250 mg 2x par jour

Références

  1. Matsushima « Growth inhibitory action of cranberry on helicobacter pylori” J Gastroenterol Hepatol 2008 Dec:23
  2. Shmuely “ Effect of cranberry juice on eradication of Helicobacter pylori in patients treated with antibiotics and a proton pump inhibitor” Mol Nutr Food Res. 2007 Jun;51(6):746-51
  3. Zhang L” Efficacy of cranberry juice on Helicobacter pylori infection: a double-blind, randomized placebo-controlled trial” Helicobacter. 2005 Apr;10(2):139-45.
  4. Gotteland M “Modulation of helicobacter pylori colonization with cranberry and lactobacillus johnsonii La1 in children” Nutrition, May 2008
  5. Chatterjee A “Inhibition of Helicobacter pylori in vitro by various berry extract with enhanced susceptibility to clarithromycin” Mol Cell Biochem. 2004 Oct;265
  6. Galan MV “Oral broccoli sprouts for the treatment of helicobacter pylori infection: a preliminary report” Dig Dis Sci 2004 Aug:49(7-8):1088-90
  7. Eyad M Salem “Comparative study of Nigella sativa and triple therapy in eradication of helicobacter pylori in patients with non-ulcer dyspepsia” Saudi J Gastroenterol 2010 Jul;16(3):207-214
  8. Hashem-Dabaghian “Combination of Nigella sativa and honey in eradication of gastric helicobacter pylori infection” Iran Red Crescent Med J 2016 Jun 21;18
  9. Rosania R ”Probiotic multistrain treatment may eradicate helicobacter pylori from the stomac of dyspeptics: a placebo-controlled pilot study” Inflamm Allergy Drug Targets 2012 jun;11(3):244-9
  10. Francavilla R “Lactobacillus reuteri strain combination in helicobacter pylori infectiopn : a randomized, double-blind placebo controlled study” J Clin Gastroenterol 2014 May-jun:48(5)
  11. Homan M “Are probiotics useful in helicobacter pylori eradication?” World J Gastroenterol 2015 Oct 7
  12. Fontes LES “N-acetylcysteine as an adjuvant therapy for helicobacter pylori eradication” Cochrane Database Syst Rev 2019 Feb 12.

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29 Commentaires
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Causse
Causse
5 années il y a

Bonjour
La prise de gomme mastic est compatible avec un régime pauvre en fodmap?
La prise de l glutamine semble m’irriter l’estomac quand prise sur estomac vide (gastrite), est ce normal?
Merci

MARY
MARY
5 années il y a
Répondre à  Dr. A. D'Oro

Docteur,
pourriez-vous parler de la RCH,
avez-vous un protocole pour venir a bout de cette inflammation chronique du colon et de mettre en rémission cette maladie avec des méthodes naturelles
Merci par avance

Brigitte
Brigitte
5 années il y a

Bonjour,

Merci pour cet article vraiment intéressant.
Je permets juste vous faire remarquer que la Nigella Sativa n’est pas le Sésame noir mais le Cumin noir.

Cordialement
Brigitte

wuilque claude
wuilque claude
5 années il y a

Bravo vos articles sont toujours très intéressants

Céline
Céline
4 années il y a

Bonjour Docteur,
Bravo pour vos articles très inspirants et merci pour vos précieux conseils.
En cas de prise de Pylera pour éradiquer HP (avec gastrite) en présence concomitante de SIFO/SIBO, quelles seraient vos recommandations ?
Un grand merci d’avance pour votre réponse

MARC ROBERT KUJAWSKI
MARC ROBERT KUJAWSKI
4 années il y a

A l’attention du Dr. A. D’Oro

Bonjour,

Suis infiniment sensible et vous exprime toute ma sympathie et reconnaissance pour la disponibilité que vous consacrez avec tant de constance pour répondre aux sollicitations des patients si nombreux qui vous sollicitent.

Je ne pensais pas, à mon tour, venir à vous et voilà que l’on me prescrit des IPP…que je refuse de prendre étant bien informé des effets secondaires de ce traitement.

ANTECEDENTS : 82 ans – ancien Conseil d’entreprises -ex- directeur d’une agence de traduction scientifique, à Paris – à la retraite, résident actuellement à La Rochelle.

– Occlusion intestinale en 1999 (sur bride)- sténose iliaques G et D et stent iliaque posé à D en 2000 –emphysème stade 2 . Vessie érogène (depuis 2000 à la suite d’une erreur médicale) ) – et Ancien gros fumeur.

Traitements en cours : KADEJIC 75 mg (refus de prendre depuis 15 ans des statines) – SPIRIVA – auto-sondages quotidiens depuis 19 ans. Compléments alimentaires : ponctuellement cures de probiotiques (de chez Pilèges) – des oméga 3/6 (Omegabiane de chez Pilèges) – Magnésieum + B 6 – harpagopphytum + curcuma/orties (pr/artrhose..)- depuis peu je prends de la mélatonine. Alimentation bio exclusivement – cuisine familiale exclusivement – vie en famille. Sédentaire (trop) – Poids normal 65 kg pour 172cm. Stress marqué depuis 2/3 ans.

(Nb. J’ai aperçu une adresse de votre cabinet à CARMAUX – exercez-vous encore en ce lieu ? Je pourrais éventuellement venir à vous pour consultation).

EVENEMENTS RECENTS

– en 2015 une sigmoïdectomie a été pratiquée pour un adénocarcinome lieberkuhunien. Un contrôle endoscopique 2 années plus tard, en 2017, n’a repéré aucune anomalie de ce côté.
– Depuis mars 2018: (ballonnements, flatulences, selles flottantes, fatigue, essoufflement, sommeil perturbé, acouphènes pulsatiles, perte de poids, mais presque aucun symptômes de reflux); mon médecin traitant ne trouvant rien à redire à cette situation, peu inquiétante selon lui, aucun traitement ne m’est préconisé idem avec gastroentéro consulté : me préconisent des antidépresseurs (refus) et des anxiolytiques (idem, refus).

– en Février dernier : le lendemain d’un extraction dentaire (1 molaire fortement infectée, je m’effondre. (occlusion dentaire déséquilibrée depuis 2 ans : implants à venir prochainement ) : chute brutale d’hémoglobine (7,6) hématocrite (23,1) hématies (2.580.000)- BNP (175) créatinine (12,8 – 113,2) Protéine C-réactive (17,1) sodium (134).
D’où, hospitalisation en urgence et explorations (scanner complet : néant – Tep-TDM : néant – échographie cardiaque (petite fuite cardiaque sans gravité) – des perfusions de sang puis de fer me sont administrées et une endoscopie/ fibroscopie/biopsie a eu lieu il y a une quinzaine. Résultats de celles-ci :

— Probable EBO C5-M5 biopsié. Angiodysplasie duodénale unique traitée au plasma argon. Biopsies étagées dont on attend le résultat.
— Résultats de la la biopsie gastrique : gastrite antrale non active, sans métaplasie intestinale et non liée à une infection à Hélicobacter pylori.
— biopsie de l’oesophage : une endocrachyoesophage existe bien sur certains prélèvements avec des lésions de bas grade. A la suite de quoi le gastro entéro préconise de l’Inexium 40 à double dose (matin et soir) et contrôle dans 6 mois (fibroscopie).
Voilà mon inventaire…Je ne prendrai pas l’IPP mais comment traiter cet EBO latent ? Qui, si j’ai bien compris, en l’état, n’est pas très grave mais cela peut dégénérer. (j’ai toujours mes ballonnements/flatulences/ fatigue, essoufflement, + enrouements parfois, etc…).
J’ai repris un niveau acceptable d’hémoglobine (10,9), d’hématocrites (31,6) d’hématies (3.570.000) loin cependant de mes taux habituels (2017) de l’ordre de 25/30 % inférieurs à ceux-ci.
Merci de votre accueil et de vos conseils. S’il vous semble possible de vous consulter sur Carmaux, je suis prêt à me déplacer d’ici 2/3 mois, mais en attendant puis-je entamer un programme de soins alternatifs ?

Je vous remercie infiniment.
Avec toute ma sympathie.
Marc Robert KUJAWSKI

A l’attention du Dr. A. D’Oro
Bonjour,
Suis infiniment sensible et vous exprime toute ma sympathie et reconnaissance pour la disponibilité que vous consacrez avec tant de constance pour répondre aux sollicitations des patients si nombreux qui vous sollicitent.
Je ne pensais pas, à mon tour, venir à vous et voilà que l’on me prescrit des IPP…que je refuse de prendre étant bien informé des effets secondaires de ce traitement.
ANTECEDENTS : 82 ans – ancien Conseil d’entreprises -ex- directeur d’une agence de traduction scientifique, à Paris – à la retraite, résident actuellement à La Rochelle.
Occlusion intestinale en 1999 (sur bride)- sténose iliaques G et D et stent iliaque posé à D en 2000 –emphysème stade 2 . Vessie érogène (depuis 2000 à la suite d’une erreur médicale) ) – et Ancien gros fumeur. Mes traitements en cours : KADEJIC 75 mg (refus de prendre depuis 15 ans des statines) – SPIRIVA – auto-sondages quotidiens depuis 19 ans. Compléments alimentaires : ponctuellement cures de probiotiques (de chez Pilèges) – des oméga 3/6 (Omegabiane de chez Pilèges) – Magnésieum + B 6 – harpagpphytum + curcuma/orties (pr/artrhose..)- depuis peu je prends de la mélatonine. Alimentation bio exclusivement – cuisine familiale exclusivement – vie en famille. Sédentaire (trop) – Poids normal 65 kg pour 172cm. Stress marqué depuis 2/3 ans.
(Nb. J’ai aperçu une adresse de votre cabinet à CARMAUX – exercez-vous encore en ce lieu ? Je pourrais éventuellement venir à vous pour consultation).

EVENEMENTS RECENTS
– en 2015 une sigmoïdectomie a été pratiquée pour un adénocarcinome lieberkuhunien. Un contrôle endoscopique 2 années plus tard, en 2017, n’a repéré aucune anomalie de ce côté.
– Depuis mars 2018: (ballonnements, flatulences, selles flottantes, fatigue, essoufflement, sommeil perturbé, acouphènes pulsatiles, perte de poids, selles flottantes); mon médecin traitant ne trouvant rien à redire à cette situation, peu inquiétante selon lui, aucun traitement ne m’est préconisé idem avec gastro entéro consulté : me préconisent des antidépresseurs (refus) et des anxiolytiques (idem, refus).
– en Février dernier : le lendemain d’un extraction dentaire (1 molaire fortement infectée, je m’effondre. (occlusion dentaire déséquilibrée depuis 2 ans : implants à venir prochainement ) : chute brutale d’hémoglobine (7,6) hématocrite (23,1) hématies (2.580.000)- BNP (175) créatinine (12,8 – 113,2) Protéine C-réactive (17,1) sodium (134).
D’où, hospitalisation immédiate en urgence et explorations (scanner complet : néant – Tep-TDM : néant – échographie cardiaque (petite fuite cardiaque sans gravité) – des perfusions de sang puis de fer me sont administrées et une endoscopie/ fibroscopie/biopsie a eu lieu il y a une quinzaine. Résultats de celles-ci :

— Probable EBO C5-M5 biopsié. Angiodysplasie duodénale unique traitée au plasma argon. Biopsies étagées dont on attend le résultat.
— Résultats de la la biopsie gastrique : gastrite antrale non active, sans métaplasie intestinale et non liée à une infection à Hélicobacter pylori.
— biopsie de l’oesophage : une endocrachyoesophage existe bien sur certains prélèvements avec des lésions de bas grade. A la suite de quoi le gastro entéro préconise de l’Inexium 40 à double dose (matin et soir) et contrôle dans 6 mois (fibroscopie).
Voilà mon inventaire…Je ne prendrai pas l’IPP mais comment traiter cet EBO latent ? Qui, si j’ai bien compris, en l’état, n’est pas très grave mais cela peut dégénérer. (j’ai toujours mes ballonnements/flatulences/ fatigue, essoufflement, + enrouements parfois, etc…). J’ai repris un niveau acceptable d’hémoglobine (10,9), d’hématocrites (31,6) d’hématies (3.570.000) loin cependant de mes taux habituels (2017) de l’ordre de 25/30 % inférieurs à ceux-ci.
Merci de votre accueil et de vos conseils. S’il vous semble possible de vous consulter sur Carmaux, je suis prêt à me déplacer d’ici 2/3 mois, mais en attendant puis-je entamer un programme de soins alternatifs ?
Je vous remercie infiniment.
Avec toute ma sympathie.
Marc Robert KUJAWSKI

A l’attention du Dr. A. D’Oro
Bonjour,
Ma demande concerne un traitement aux IPP que l’on vient de me prescrire suite à une endoscopie et fibroscopie réalisé en février 2019 + biopsie(je refuse ce traitement…).
Ces examens m’ont été prescrits à la suite d’un bilan d’anémie ferriprive avec altération brutale de l’état général.
ANTECEDENTS /
– en 2015 une sigmoïdectomie a été pratiquée pour un adénocarcinome lieberkuhunien. En 2017 un contrôle endoscopique de contrôle n’a trouvé aucune anomalie de ce côté.)
TRAITEMENTS EN COURS :
– Depuis mars 2018: (ballonnements, flatulences, fatigue, essoufflement, sommeil perturbé, acouphènes pulsatiles, perte de poids, selles flottantes); mon médecin traitant ne trouvant rien à redire à cette situation, aucun traitement préconisé.

– Février dernier : le lendemain d’un extraction dentaire (1 molaire fortement infectée- occlusion dentaire déséquiloibrée : implants à venir) ) chute brutale d’hémoglobine (7,6) hématocrite (23,1) hématies (2;580;000)- BNP (175) créatinine (12,8 – 113,2) Protéine C-réactive (17,1) sodium (134).
hospitalisation immédiate et explorations (scanner thorax § digestif – néant – Tep-TDM : néant – échographie cardiaque (petite fuite cardiaque sans gravité) – une inflitration de fer m’a été faite durant mon hospitalisation, et enfin une endoscopie/ fibroscopie/biopsie a eu lieu il y a une quinzaine. Résultats de celles-ci

— Probable EBO C5-M5 biopsié. Angiodysplasie duodénale unique traitée au plasma argon. Biopsies étagées.
— Résultats de la la biopsie gastrique : gastrite antrale non active, sans métaplasie intestinale et non liée à une infection à Hélicobacter pylori.
— biopsie de l’oesophage : une endocrachyoesophage existe bien sur certains prélèvements avec des lésions de bas grade.

Odile
Odile
4 années il y a

Docteur
Pourriez-vous nous indiquer une source ou marque d’enzymes de qualité ?
Avec mes remerciements

Bordignon
Bordignon
4 années il y a

Bonjour,
Je viens de m abonner à votre site.m
Depuis 2015,J ai changé d alimentation et je me soigne naturellement pour éradiquer helicobacter pylori.je refuse les IPP.
J ai testé beaucoup…
Actuellement,je fais une cure d herbe d orge et de terre volcanique..Bentomed Fangocur, des gélules d ail et de la propolis.je finit ma cure de 21 jours.
On vient de me conseiller une nouvelle molécule…HERICIUM 400 mg durant 6 semaines.
Que pensez vous de ces traitements.?
Je vous remercie pour tous vos conseils.
Cristine

Bordignon
Bordignon
4 années il y a
Répondre à  Dr. A. D'Oro

Oui,merci pour votre, effectivement,je combiné plusieurs produits, Hericium,reishi,maitake,shiitake, propolis, je ne bois pas, ne fume quasiment plus,plus de café,je mange bio, légumes,fruits, cela fait 3 semaines maintenant et j ai plus mal à l estomac qu avant, et il gonfle…c est décourageant,j ai arrête l Ail, peut être,je dois le reprendre et dois je prendre bromaline et papaïne.tout ça dans la même journée ..est ce bien ?
Merci a vous

Hasnia
Hasnia
2 années il y a
Répondre à  Bordignon

Bonjour,
Avez vous pu éradiquer votre helico bacter

Céline
Céline
3 années il y a

Bonjour Docteur,
Bravo pour vos articles très inspirants et Merci pour vos précieux conseils toujours bien documentés. Je souhaite tenter le traitement naturel du D HAWRELAK que vous avez la gentillesse de nous détailler. Peut-on y ajouter Zinc Carnosine pour calmer la gastrite et Bétaïne Hcl pour aider à la digestion ? Un très grand Merci d’avance pour votre réponse

Giulia
Giulia
3 années il y a

Bonjour,
J’ai 51 ans. Après une période de forte stress et des maux à l’estomac qui perduraient depuis quelque moins, j’ai testée positive à Hélicobacter pylori.
Pour le traiter, le gastro-entérologue m’ à prescrit PYLERA, mais j’ai vraiment peur à prendre ce medicament, vu tous les effets indésirables que cela peut engendrer.
J’ai lu pas mal d’ experiences de patients qui ont pris PYLERA soit en français, soit e anglais, et non seulement les patients se plaignaient des effets secondaires pendant le traitement, mais aussi des mois après. Maintes des personnes n’ont même pas réussi à arriver au bout du traitement à cause des fortes malaises.
De plus, depuis 2016, je souffre de cystite chronique qui également a été traitée par la prise multiple d’ antibiotiques, ce qui a bouleversé ma flore intestinale et provoqué une dysbiose que, en dépit de plusieurs prises de probiotiques je n’ai jamais résolu.
Je me demande en effet, si l’ Helicobacter puisse être une conséquence de la disbyose !?
Pour le moment j’ai essayé le mastic de Chios à raison de 1gramme par jour au dehors des répas, pendant 2 semaines, mais mes soucis d’ estomac sont toujours là. Je ne sais pas s’il faudrait que je fasse un autre cycle, sauf que j’ai lu qu’il faut attendre au moins 3 semaine pour recommencer avec un autre cycle. Depuis au peu près 10 jours, je prends de l’ hericium, mais je ne suis pas sure pour combien de temps il faut continuer.
J’aimerais avoir l’ opinion de quelqu’un qui me donne une thérapie sà base de produits naturels sur mesure, avec dosage exacte, durée du traitement etc, pour être dans la mesure de pouvoir évaluer si ces remèdes fonctionnent ou pas.
Je suis plutôt découragée.
Donnez- vous des consultations sur Skype aussi, car je ne vis pas en Suisse.
D’avance un gros merci
Giulia

Pauchont
Pauchont
2 années il y a

Bonjour
On m’a donné un traitement à base d’omeprazole et de pylera mais je ne supporte pas les effets secondaires. Qui consulter pour obtenir une indication de traitement avec les produits adaptés à utiliser ? Un naturopathe ? Ou bien doit-on prendre un peu de tout au hasard ? D’autre part je souhaiterais savoir où se procurer les produits adaptés. Merci.

Milena
Milena
1 année il y a

Bonjour, il manque les références concernant l innocuité, voire l’intérêt d’Helicobacter, pourriez-vous les indiquer? D’avance merci!

Nadia
Nadia
1 année il y a

Bonjour Docteur
Je suis du Maroc, ma mère a un ulcère d estomac et diabétique, elle a 83 ans. Elle a pris Inexium pendant trois mois mais en vain, son état s est empire. Elle a des problèmes d articulation et d âpres les analyses de sang elle a un manque de vitamine D et sa ferritine a chute. Est ce que vous la conseiller de se supplémenter en fer vu son ulcère qui peut être rend le fer inassimilable . Pourriez vous me conseiller par rapport a son diabète, quels suppléments a prendre et son ulcère d estomac .

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