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La fibromyalgie Partie 1 : Nouvelles hypothèses médicales

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La Fibromyalgie représente l’exemple même d’une maladie des temps modernes dont la compréhension dépasse largement la vision classique de la médecine basée sur « l’organe malade ». C’est pourquoi souvent la médecine parle d’un syndrome dont l’origine n’est pas connue. La médecine n’arrive pas expliquer scientifiquement ce syndrome. C’est pourquoi le diagnostic est posé essentiellement sur des critères cliniques. Ainsi les critères édités par l’American Collegue of Rheumatology en1990 se basaient uniquement sur l’existence des douleurs chroniques généralisées avec la présence d’un certain nombre de points sensibles tendino-musculaires. Vingt ans plus tard, en 2010, ce n’est pas mieux puisque l’on a seulement élargi les critères en intégrant des symptômes déjà connus tels que la fatigue, les troubles du sommeil et les troubles cognitifs.

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Quand la lumière de nos écrans endommage nos yeux, notre cerveau et perturbe notre santé

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La lumière du jour a depuis toujours réglé notre horloge biologique, ce processus physiologique qui nous informe quand dormir et quand être réveillé. Les plantes, les animaux et même les bactéries ont un cycle circadien de 24 heures. Des récepteurs sensoriels au niveau de nos yeux sont activés à la lumière du jour et particulièrement ce sont les fréquences dans les spectres du bleu (autour de 480 nanomètres) qui nous stimulent le plus. La lumière du jour inclut la plupart des spectres lumineux, en plus de la lumière bleue.

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BlogsLa digestion et l'intestinNeuro-psychiatrie

Guérir l’anxiété, Rôle du stress et du microbiote, focus sur les psychobiotiques.

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En médecine, le modèle théorique classique pour expliquer l’anxiété se base sur un dérèglement des neurotransmetteurs du cerveau. La solution médicale la plus utilisée est d’augmenter la production de molécules cérébrales calmantes agissant sur les récepteurs GABA. Parmi elles, les benzodiazépines restent les molécules les plus prescrites. Les effets sont rapides, mais s’accompagnent de nombreux inconvénients (somnolence, troubles de la mémoire, troubles de l’équilibre). De plus, ces médicaments produisent à la longue un phénomène d’accoutumance et de dépendance, raison pour laquelle ils devraient n’être pris que pendant de courtes périodes. Dans l’ensemble, ces approches médicamenteuses symptomatiques ne nous permettent pas d’appréhender les causes réelles de l’anxiété. Pour prendre en charge l’anxiété, il est nécessaire de s’interroger sur ce qui nous perturbe. Nous allons voir qu’il existe de nouveaux éclairages pour comprendre les racines de l’anxiété.

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Comment éviter le déclin cognitif et booster son cerveau : Partie 2

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Avons-nous besoin de compléments alimentaires pour protéger ou booster notre cerveau ? La réponse est affirmative, car notre environnement a changé. La vie est plus stressante, l’alimentation s’est appauvrie en vitamines, d’innombrables produits chimiques nous agressent quotidiennement. La bonne nouvelle est qu’il existe divers micronutriments dans la nature qui peuvent réellement contribuer à protéger et à booster notre cerveau.

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Comment éviter le déclin cognitif et booster son cerveau : Partie 1

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Le déclin cognitif débute, selon les experts, vers l’âge de 45 ans, Au début les personnes décrivent des difficultés de mémoire ou d’attention. Les connaissances anciennes, ou acquises au fil des années, sont plus longtemps préservées. Le déclin cognitif n’est pas une conséquence inévitable du vieillissement, bien qu’il soit fréquent chez les personnes âgées. Selon une étude sur la santé et le vieillissement au Canada, environ 17 % des Canadiens de 65 ans présentaient un déficit cognitif…..
…..Dès lors, on peut comprendre l’intérêt d’agir le plus possible en amont et de réduire dès que possible le déclin cognitif à son début. L’intérêt de cet article est de comprendre comment des modifications précoces de notre mode de vie et de notre alimentation peuvent nous aider à réduire le déclin cognitif et à réduire le risque de démence. De plus, nous verrons qu’il existe des stratégies micro-nutritionnelles pour protéger nos neurones et booster notre cerveau. En fin d’article, un programme santé du cerveau sera proposé sur la base des dernières avancées de la science.

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