Anxiété et épuisement : le rôle caché du trauma précoce, du déficit en GABA et de la fragilité mitochondriale
Et si l’anxiété chronique et la fatigue persistante avaient une origine bien plus profonde qu’on ne l’imagine ? Derrière des symptômes épars – insomnie, épuisement, douleurs diffuses – se cache parfois une mécanique invisible façonnée dès l’enfance.
Lorsque l’enfant grandit dans un climat d’insécurité ou de stress, son système nerveux apprend à vivre dans l’alerte permanente. Cette hypervigilance, ancrée dans la biologie, ne disparaît pas avec le temps : elle reconfigure le cerveau et le corps.
Au cœur de ce phénomène, un trio silencieux agit en coulisses : un déficit en GABA, le neurotransmetteur qui sert de frein naturel au cerveau ; un excès de glutamate, qui suractive les circuits nerveux ; et des mitochondries fragilisées, incapables de fournir l’énergie nécessaire pour maintenir l’équilibre.
Le résultat ? Un cercle vicieux où stress, inflammation et épuisement se nourrissent mutuellement.
Mais la bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d’agir. En réparant simultanément le système nerveux, la chimie cérébrale et l’énergie cellulaire, il devient possible de sortir de l’état d’alerte et de retrouver vitalité et sérénité.
Cet article vous emmène à la découverte d’un axe encore méconnu – Stress, GABA, Mitochondries – et ouvre la voie à une compréhension nouvelle de la résilience biologique.